La revue 2012 du Cercle Richard Wagner de Toulouse Midi-Pyrénées est consacrée, cette année, à trois des conférences de la saison 2011-2012.
Je remercie les conférenciers qui ont bien voulu nous confier leur texte et nous autoriser à vous les présenter :
tout d’abord, Jean-Philippe GUINLE qui nous a remis cet important article intitulé « à la lumière de PARSIFAL », fruit de ses réflexions sur l’ultime œuvre de Richard Wagner, œuvre qui l’a fasciné depuis son plus jeune âge (page 5);
puis, Céline LANDES, qui a assisté au festival de Bayreuth 2011 comme boursière du Cercle Richard Wagner de Toulouse et qui nous a séduit avec une conférence très vivante sur les relations entre deux musiciens majeurs du 19ème siècle, BERLIOZ et WAGNER, qui s’appréciaient malgré leurs différences (page 31);
enfin, Jean-Pierre RAYBOIS, notre ancien président, fondateur du Cercle Richard Wagner de Toulouse, qui nous a éclairé sur le bouddhisme dans les oeuvres de maturité de Richard Wagner, conférence à laquelle la revue 2011, entièrement consacrée au bouddhisme et aux lieux sacrés du bouddhisme, avait préparé les adhérents de notre association (page 55) .
Je profite de cet avant-propos pour remercier également les autres conférenciers :
- Bernadette FANTIN-EPSTEIN, qui nous a fait partager sa grande connaissance de l’œuvre littéraire d’Emile ZOLA et de l’œuvre poétique et musicale de Richard WAGNER ;
- Michel LEHMANN, directeur du département de Musique de l’Université de Toulouse II, qui nous a conté avec brio et clarté le parcours étonnant du très grand pianiste et compositeur que fut Franz LISZT, mécène et beau-père de Richard WAGNER ;
- Ronald GREC et Michel OLIVIE qui ont préparé avec enthousiasme l’audition comparée des Wesendonklieder de Richard WAGNER , et Mady MESPLE et Jean-Jacques CUBAYNES qui ont bien voulu se prêter au jeu de la critique des chanteuses sélectionnées par Ronald GREC : c’est l’interprétation de Julia VARADY qui a recueilli unanimement les suffrages des auditeurs. Julia VARADY était accompagnée par l’orchestre symphonique allemand de Berlin dirigé par son époux Dietrich Fischer Dieskau, disparu en cette année 2012 et dont nous saluons avec émotion la mémoire.
Enfin je rappellerai, qu’en juin, à l’occasion de la production de Tannhäuser sur la scène du Capitole de Toulouse, j’ai eu l’immense plaisir de faire partager les lettres de Richard Wagner et de ses contemporains à propos des nombreuses versions de Tannhäuser dans une conférence intitulée « Tannhäuser dans tous ses états ».
Anne-Elizabeth AGRECH
Pour lire :
« à la lumière de PARSIFAL » cliquer sur Guinle-2012
« BERLIOZ et WAGNER » cliquer sur Landes-2012
« le bouddhisme et WAGNER »cliquer sur Raybois-2012